À peine dix ans après la mort de Jean-Sébastien Bach et quelques années après celle de Georg Friedrich Haendel, Wolfgang Amadeus Mozart fait son entrée sur la scène de l'histoire de la musique, probablement pour la première fois en 1762 lors d'un voyage artistique à Munich, et le monde découvre l’enfant prodige. 

Ainsi se déroule le 3ème concert liturgique de manière merveilleuse, pour ne pas dire miraculeuse, à plus d'un titre. De fines mélodies tissent un arc mélodieux allant de Wilhelm Friedemann Bach, deuxième enfant et fils aîné de Johann Sebastian Bach, à Georg Friedrich Händel et Mozart, c'est-à-dire du baroque (tardif) au classique. L'orgue, « roi des instruments », sera également de la partie.