The privacy of things
L'une des dérives de la communication sur Internet est que nous traitons parfois les informations privées avec autant de générosité et d'insouciance que si nous devions informer le monde entier de nos activités.
La révolution technologique des dernières décennies nous a toutefois offert de toutes autres possibilités ; nous pouvons également traiter des données (privées) à des fins artistiques. Martin Hennecke, percussionniste dans l'Orchestre National de la Sarre, s'est intéressé de plus près à l'une de ces possibilités en question : les données à caractère personnel fournies volontairement aussi bien par les membres du Ballet National de la Sarre que par le public constituent la structure de données à partir de laquelle la musique est générée par le biais d'un logiciel spécifique. Étant donné que les informations fournies par les spectateurs seront toujours différentes, la musique variera d'une représentation à l'autre.
Sur cette partition générée numériquement, Stijn Celis créera une nouvelle chorégraphie qui reprendra l'impulsion technologique et la transformera en mouvement.
Choreographie
Stijn Celis
Musikalische Leitung
Martin Hennecke
Bühnenbild
Sebastian Hannak
Kostüme
Laura Theiss
Datenaufnahme und Visuals
Softwareentwicklung
Benjamin Wolff
Licht
Olaf Lundt
EMPTY
Mit Saarländisches Staatsballett, Saarländisches Staatsorchester
»Meisterhaft verwischt Ballettchef Stijn Celis im ersten Teil die Grenzen zwischen Improvisationen und exakt gestalteten Formationen, jedem einzelnen Tänzer ordnet er eine eigene individuelle Bewegungssprache zu, ohne zu stark ins Pantomimische zu driften.(...) Heraus gekommen ist ein staunenswerter Abend – intensiv und ein bisschen crazy.«
Saarbrücker Zeitung, Cathrin Elss-Seringhaus, 15. Mai 2023
»Aber das Publikum kann teilweise die Musik beeinflussen und damit immer wieder neue Tänze kreieren lassen. Die sind elegant, ästhetisch und sogar witzig. Fazit„The privacy of things“ lässt jeden Tanzabend zu einem Unikat werden.« Mehr erfahren ...
»Chapeau! Diese inspirierte Kombination macht "The privacy of things" zu einem einzigartigen und wiederum inspirierenden Ereignis.« Mehr lesen ...
»Das Schöne an dem Abend: Er bleibt nicht bei der trockenen Anordnung. Man kann das Experiment auch ohne Kenntnis seines wissenschaftlich-experimentellen Konzepts goutieren und erlebt dann ein brillantes geometrisches Spiel über Existenz ohne Privatheit. Das künstlerische Ergebnis ist bestechend und eindrucksvoll.«
Die Deutsche Bühne online, Roland Dippel, 13. Mai 20213